Quand l’on devient parents c’est tout un changement de vie qui se met en place avec parfois des incertitudes, des doutes et des questionnements. On se demande si l’on fait bien les choses et on ne sait plus quels conseils écouter. Les parents ressentent souvent un sentiment d’impuissance voire de culpabilité certaines fois. C’est à ce moment-là que l’écoute et le non jugement sont la base de l’accompagnement en parentalité. Tout parent fait de son mieux, et chaque enfant est différent, alors proposer des solutions globales, n’est pas toujours pertinent et ne fait qu’accentuer la solitude du parent face à ce qui ne fonctionne pas.
Avant de recevoir les enfants en séance de kinésiologie, je propose aux parents de faire une séance sur eux si possible, car bien souvent l’enfant est le miroir de son parent. Donc si les parents veulent aider leur enfant à aller mieux, il est préférable d’effectuer cet accompagnement en amont. Nous ne pouvons pas accompagner un enfant à aller mieux tant que l’un de ses parents à des émotions ou des événements particuliers à libérer. Ainsi cela permettra aux parents et enfants d’être sur la même avancée.
La kinésiologie peut être pratiquée à tout moment de la grossesse.
La parentalité ne commence pas à la naissance de l’enfant d’après moi, mais dès le projet de conception. La kinésiologie peut accompagner les personnes qui désirent avoir un enfant et qui ont parfois des peurs enfouies (« dans ma famille, on a des difficultés à avoir des enfants », «j’ai peur de devenir mère », « la grossesse et l’accouchement me font peur », « j’ai peur que mon conjoint me laisse seule »). Mais aussi tout accompagnement spécifique (mère seule durant la grossesse ou à la naissance, PMA, IVG, IMG, fausses couches, deuil périnatal…). Le but est que les parents se sentent mieux pour pouvoir avancer dans leurs projets avec le plus de sérénité possible et de libérer des émotions qui n’ont pas toujours été accueillies et/ou entendues par leur entourage. Certaines situations sont encore banalisées alors que la souffrance de la personne doit être écoutée pour pouvoir l’aider à accepter et faire le deuil.
La kinésiologie peut aussi accompagner les pères qui sont souvent les « oubliés » dans ces moment-là. Ils ont aussi des émotions intériorisées suite à ces événements et pour soutenir leur conjointe, ils vont parfois mettre de côté ce qu’ils ont ressenti. La parentalité prend en compte autant la mère, que le père.
La grossesse est une période de grands changements pour une femme, c’est pourquoi la kinésiologie peut aider à retrouver une détente/ sérénité, être centré dans la relation mère-enfant, diminuer les désagréments de la grossesse, libérer le stress de l’accouchement… Mais aussi accompagner les pères dans leur place auprès de leur enfant dès la grossesse. Les cours de préparation à la naissance permettent de préparer tout cela souvent de manière globale. De manière complémentaire, en kinésiologie vous pourrez libérer individuellement vos angoisses et aller à la source de ces blocages (exemple : comprendre que vos peurs ne sont qu'une répétition de ce que vous même avez vécu enfant ou même in utero).
Après l’accouchement, c’est à la fois une joie immense de rencontrer son bébé et un nouveau rythme à mettre en place à trois. La fatigue, l’allaitement et la compréhension des besoins du bébé, ne sont pas toujours évidents au début. C’est pourquoi la kinésiologie peut vous accompagner durant ces différentes étapes, afin de ne pas oublier l’importance du 4ème trimestre de grossesse !
En kinésiologie, nous pouvons aussi travailler sur la mémoire émotionnelle des cicatrices. En effet, la la césarienne peut être un événement mal vécu pour la maman (la séparation mal vécu avec le bébé, la colère de ne pas pouvoir donner naissance comme prévu, les douleurs...). Tout cela laisse une trace émotionnelle dans le corps et peut même provoquer des douleurs sur la cicatrice. On parle aussi de cicatrices intérieures pour les IVG et fausses couches qui sont souvent douloureuses émotionnellement aussi.
Lors de la grossesse, la femme va revivre très souvent ce qu'elle a vécu dans le ventre de sa mère (exemple: peur de l'abandon, peur de la fausse couche, peur de la mort subite du nourrison...). Toutes les émotions mémorisées in utero pour la femme, peuvent se réactiver durant la grossesse.
Se questionner en tant que parents ce n’est pas qu’au début, cela peut-être lorsque les enfants entrent dans leurs différentes étapes de vie (opposition, refus de manger, de dormir, écouter les règles, troubles relationnels, somatisation…).
Pour les grandes étapes de séparation (première entrée à la crèche, école, quand ils quittent le domicile familial plus tard…).
Mais aussi lors de l’adolescence qui représente un grand changement tant pour les adolescents qui sont entre la joie d’être indépendants et la peur de s’éloigner de leurs parents, que pour les parents qui voient leur enfant changer et évoluer.
Et enfin même quand les enfants deviennent adultes, la relation parents-enfants peut voir besoin d’accompagnement.
Si vous avez besoin d'accompagnement et de soutien dans votre rôle de parent ou de futur parent (grossesse...), ou besoin de vous libérer d'émotions que vous n'avez pas pu exprimer même avant la grossesse durant votre projet de conception, la kinésiologie peut vous aider à vous délester de ce qui vous empêche d'avancer sereinement.
Vous pouvez me contacter pour une séance.